20 septembre 2015
Un petit texte d'Hélène Cixous.....
Par les couloirs de la nuit, la mort devient ce qu'elle est : une séparation seulement presque interminable, interrompue par des retrouvailles brèves et extatiques. Sans les rêves, la mort serait mortelle - ou immortelle ?
Mais elle est fendue, déjouée, refaite. De ses terres s'échappent les fantômes qui consolent les mortels que nous sommes.
( Ne vous y méprenez pas : il ne s'agit pas de Valentin avec Clèm' mais de Lila, sa nièce à peu près au même âge ).
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